Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

économie française - Page 4

  • Consommation des ménages : 2e trimestre 2015 (06 08 2015)

    Nous proposons des extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 31 juillet 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=19&date=20150731.html

    En hausse en juin (+0,4 %), la consommation des ménages en biens est quasiment stable au deuxième trimestre 2015 (–0,1 %)

    En juin 2015, les dépenses de consommation des ménages en biens accélèrent : +0,4 % en volume, après +0,1 % en mai. Cette accélération résulte principalement du dynamisme de la consommation alimentaire (+0,6 % en juin après 0,0 %). Cependant, sur l’ensemble du deuxième trimestre, les dépenses de consommation des ménages en biens sont quasi stables (–0,1 %), après une vive augmentation au premier trimestre (+1,5 %) : le recul de la consommation en énergie (–2,2 %) compense le dynamisme de la consommation alimentaire (+0,8 %).

     

    Biens fabriqués : hausse en juin, stabilité sur le trimestre

    Biens durables : ralentissement en juin et sur le trimestre

    Les dépenses en biens durables ralentissent légèrement en juin (+0,4 % après +0,7 % en mai). Les achats en équipement du logement augmentent (+0,4 %) après deux mois atones et les achats d’automobiles accélèrent légèrement (+0,7 % après +0,5 % en mai). En revanche, les achats d’autres biens durables se replient nettement (-0,7 % après +2,9 %), notamment du fait de l’horlogerie-bijouterie. Sur l’ensemble du deuxième trimestre 2015, les dépenses en biens durables ralentissent (+1,0 % après +1,9 %), notamment les dépenses d’équipement du logement (–0,1 % après +1,6 %). Les achats d’automobiles restent dynamiques (+2,0 % après +2,3 %).

    Habillement : hausse en juin, baisse sur le trimestre

    Les achats en textile, habillement et cuir augmentent en juin (+0,4 % après –0,1 %). Néanmoins, ils se replient sur l’ensemble du deuxième trimestre (–2,0 % après +1,6 %).

    Autres biens fabriqués : légère hausse en juin

    Les dépenses en autres biens fabriqués augmentent légèrement en juin (+0,2 % après –0,1 %), notamment en quincaillerie-bricolage. Elles sont quasiment stables sur l’ensemble du deuxième trimestre (–0,1 % après +1,4 %).

    Alimentaire : accélération en juin et sur le trimestre

    En juin, la consommation en produits alimentaires se redresse (+0,6 % après une stabilité en mai). Sur l’ensemble du deuxième trimestre, elle accélère (+0,8 % après +0,2 % au trimestre précédent).

    Énergie : repli sur le trimestre

    En juin, la consommation des ménages en énergie est quasi stable (–0,1 %).

    Sur l’ensemble du deuxième trimestre, la consommation d’énergie se replie (–2,2 % après +3,7 %), principalement en gaz et électricité.

    L’évolution de mai est inchangée

     

    Depuis la précédente publication, de nouvelles informations ont été intégrées, et les coefficients de correction des variations saisonnière ont été actualisés. Toutefois, l’évolution des dépenses de consommation des ménages en biens est inchangée en mai (+0,1 %).

    Lire la suite

  • Prix agricoles : juin 2015 (04 08 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 31 juillet 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=80&date=20150731.html

     

    En juin 2015, les prix agricoles augmentent de 1,6 % par rapport à mai ; sur un an, ils diminuent de 3,4 %

    Les prix des céréales se redressent en juin (+5,8 %), sous l’effet de conditions climatiques défavorables aux États-Unis et en Europe occidentale.

    Les prix des oléagineux continuent d’augmenter en juin (+3,6 %), portant la hausse à près de 30 % sur neuf mois. La production mondiale de colza reculerait du fait de la baisse des rendements au Canada et en Europe.

    Les prix des vins fléchissent sur un an (-2,5 %). La dernière récolte a été bonne, sauf dans le Languedoc-Roussillon. Le prix des vins IGP (indication géographique protégée) et sans IG, massivement produits dans cette région, croît fortement (+13,1 % sur un an). Au contraire, le prix des vins d’appellation recule nettement (-8,0 % sur un an).

    Les prix des fruits frais augmentent par rapport à l’an dernier (+10,7 %). Notamment, la fraise se renchérit : la demande reste dynamique malgré l’avancement dans la saison et l’arrivée des premiers fruits d’été ; de surcroît, les importations espagnoles sont plus limitées cette année. Les prix de la cerise, des abricots et des pêches bondissent également, sous l’effet du recul sensible de leurs productions, lié aux aléas climatiques, tandis que le temps chaud est propice à leur consommation.

    Les prix des légumes frais sont stables (+0,4 % en glissement annuel). Le prix de la tomate évolue peu en raison d’une production stabilisée. La courgette se renchérit en raison d’une offre moins importante liée aux replis des cultures sous serre et des importations. En revanche, le prix du melon diminue sous l’effet d’une production abondante. La culture sous serre de ce légume a progressé, augmentant les rendements.

    En données corrigées des variations saisonnières, les prix des animaux sont quasi stables en juin (+0,3 %) mais décroissent sensiblement sur un an (-4,8 %). Le prix du porc perd plus de 10 % sur cette durée, sous l’effet de l’embargo russe et de la concurrence européenne, principalement allemande. Le prix du lait chute de 10 % sur un an, en raison du recul de la demande mondiale (notamment chinoise) et de l’embargo russe.

    Le prix d’achat des moyens de production décroît en juin

     

    En juin, les prix des consommations intermédiaires diminuent (-0,9 %), notamment du fait de la baisse des prix de l’énergie (-2,2 %) et des engrais (-3,2 %). Sur un an, les prix de l’énergie (-12,1 %) et des aliments pour animaux (-6,4 %) décroissent sensiblement. Les prix des biens des investissements sont quasi stables en juin (-0,2 %).

  • Conjoncture et bâtiment : promoteurs immobiliers et logements neufs (28 07 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 24 juillet 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=57&date=20150724.html

    En juillet 2015, les promoteurs immobiliers entrevoient une nouvelle amélioration de la demande de logements neufs

    Enquête trimestrielle de conjoncture dans la promotion immobilière – Juillet 2015

    Les perspectives de demande de logements neufs continuent de se redresser

     

    Lire la suite

  • Climat des affaires juillet 2015 (23 07 2015)

    Climat des affaires (juillet 2015) : commerce de détail, réparation automobile

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une note d’analyse publiée le 22 juillet 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=86&date=20150722.html

    En juillet 2015, le climat des affaires reste stable dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles

    Selon les chefs d’entreprise interrogés en juillet 2015, le climat des affaires reste stable dans le commerce de détail et dans le commerce et la réparation automobiles. L’indicateur qui le synthétise se maintient à 106 depuis mai ; il est supérieur à sa moyenne de long terme (100) depuis le début de l’année.

    Des ventes bien orientées

    Lire la suite

  • Crise économique et Travaux Publics (20 07 2015)

    Question de sénateur et réponse ministérielle publiées le 27 mai 2015 sur le site du Sénat (cliquer ici pour accéder au site du Sénat)

    http://www.senat.fr/questions/base/2015/qSEQ15031067S.html

    Question orale sans débat n° 1067S de M. Henri de Raincourt (sénateur de l’Yonne)

    Monsieur le secrétaire d'État, je voudrais attirer l'attention du Gouvernement sur la situation des entreprises de travaux publics.

     

    Élu local de longue date, vous connaissez les conséquences que la crise dans ce secteur peut entraîner à la fois sur l'emploi, à un moment où le chômage atteint déjà des sommets dans notre pays, avec toutes les difficultés induites, et sur le réseau routier. Je ne sais si l'ensemble des départements sont concernés, mais, dans l'Yonne, le réseau routier se dégrade, et de manière très rapide. Quand il faudra engager des crédits pour sa remise en état, je me demande combien cela coûtera, notamment pour le département dont je suis élu ; en tout cas, il est certain que la somme sera très importante.

     

    Cependant, les budgets des collectivités locales étant ce qu'ils sont, les dotations de l'État étant ce qu'elles sont, les communes et les départements sont obligés de réduire leurs engagements en matière d'investissement, en particulier en ce qui concerne les routes.

    Les entreprises de travaux publics nous alertent très régulièrement et de nombreux médias confirment leurs chiffres, très élevés. Ainsi, 22 500 emplois auraient déjà été supprimés en France et, plus particulièrement en Bourgogne, près de 9 000 emplois directs et indirects seraient concernés.

     

    Monsieur le secrétaire d'État, je n'insiste pas davantage sur le constat, que vous connaissez. Je voudrais savoir si le Gouvernement, conscient de cette situation, envisage de prendre ou a déjà pris les mesures de nature à réduire les difficultés que nous connaissons, dans un secteur d'autant plus important pour l'économie locale et pour le développement économique et social du pays qu'il contribue à la création d'emplois et, ce faisant, irrigue l'ensemble du territoire.

     

    Quelle est donc la politique du Gouvernement en la matière ?

     

    Réponse du Secrétariat d'État, auprès du ministère de la décentralisation et de la fonction publique, chargé de la réforme territoriale publiée dans le JO Sénat du 27/05/2015 p. 5254

    Lire la suite

  • Production manufacturière : mai 2015 (16 07 2015)

    Extraits (hors tableaux et graphiques) d’une Note d’analyse publiée le 10 juillet 2015 sur le site de l’INSEE (cliquer ici pour accéder au site de l’INSEE)

    http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=10&date=20150710.html

    En mai 2015, la production manufacturière augmente (+0,6 %)

    Toutes les données sont corrigées des variations saisonnières et du nombre de jours ouvrables (CVS-CJO).

    N. B. : dans le commentaire, les évolutions par sous-branche sont présentées par ordre décroissant de leur contribution à l’évolution globale de l’indice de la production industrielle. La contribution d’une sous-branche prend en compte son poids et l’ampleur de son évolution.

    En mai 2015, la production en volume se redresse dans l’industrie manufacturière (+0,6 % après –0,8 %). Elle augmente également dans l’ensemble de l’industrie (+0,4 % après –0,8 %).

    La production manufacturière des trois derniers mois augmente (+0,4 %)

     

    Lire la suite